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5. SOUVENIRS DU QUATRE SEPTEMBERE ORIGINE ET CHUTE DU SECOND EMPIRE
7. SOUVENIRS DU QUATRE SEPTEMBERE ORIGINE ET CHUTE DU SECOND EMPIRE PAR JULES SIMON
9. LIVRE PREMIER LE 2 DÉCEMBRE 185I
11. I. Pourquoi je publie ces mémoires, et pourquoi, avant de raconter la chute de l’Empire, je suis obligé d’en raconter les origines
15. II. Louis-Napoléon Bonaparte jure fidélité à la République et à la Constitution
21. III. Louis-Napolêon Bonaparte s′apprête il violer la Constitution et à renverser la République
29. IV. Louis-Napoléon Bonaparte se sert de la loi du 31 inai, à laquelle il a lui-même coopéré, pour accroître sa popularité aux dépende l’Assemblée
31. V. Les parlementaires, se sentant perdus, essaient de se défendre en proposant la loi des questeurs
35. VI. Le président de la République transforme l′armée de Paris en garde prétorienne
39. VII. L′attentat
53. VIII. La résistance légale
63. IX. Les citoyens combattent pour la Constitution et la loi contre l’armée et les représentants de l’autorité. — La lutte dans Paris
73. X. La lutte dans les départements
77. XI. Le plébiscite
89. XII. Les proscriptions
97. XIII. Le nombre des victimes
103. XIV. La loi de sûreté générale
111. LIVRE DEUXIEME LA GUERRE DE 1870
113. I. L′Empire laisse égorger le Danemark
125. II. L’Empire laisse égorger l’Aulriche
131. III. L’Empire négocie avec la Prusse victorieuse pour obtenir de saloyauté des agrandissements de territoire
141. IV. L′Empire, après avoir lui-même créé la puissance de la Prusse, comprenant, mais trop tard, qu’il n’obtiendra d’elle aucune compensation, cherche une occasion de se venger et de reconquérir son prestige par une guerre heureuse
147. V. La Prusse ayant voulu mettre un prince prussien sur le trône d’Espagne, l’Empire exige et obtient la renonciation du prétendant et l’adhésion formelle du roi de Prusse à celte renonciation
171. VI. L’Eiupire, au lieu de se contenter de sa victoire diplomatique et de conserver la paix qu’il a dans la main, pose au roi de Prusse des conditions inacceptables
189. VII. L’Empire, au moment de la déclaration de guerre, n’a pas d’alliances
213. VIII. L′Emp′re no pont mellro en ligne qu’un effeetif égal à peine antiers des armées allemandes; ses cadres ne sont pas au complet
237. IX. L’Emperour, qui a déclaré la guerre sans motifs sérieux et avant d′élrc prêt it la soutenir, désorganise notre armée en ïa divisant et en la dispersant
249. X. Après le désastre de Froeschwiller, l’Empire n′existe plus que de nom. Le ministère du 2 janvier est renversé
255. XI. Paris et l’opinion après la séance du 9 août
263. XII. L’opposition républicaine au Corps législatif
271. XIII. La gauche, malgré les efforts du gouvernement, fait décider [iar le Corps législatif l’armement immédiat de la garde nationale
277. XIV. L’Empereur, sous la pression de l′opinion, renonce au commandement de l′armée
287. XV. Le général Trochu accepte le gouvernement de Paris à trois conditions : 1" la rentrée de la garde mobile à Paris; 2* le retour de l’Empereur; 3° la reconstitution sous Paris de l’armée du maréchal de Mac-Mahon
293. XVI. Après de longues hésitations, l′armée du maréchal de Mac-Mahon abandonne Paris, cl se dirige lentement vers le Nord-Est
302. XVII. Le gouvernement n′exécute pas la loi sur l’armement de la garde natiouale
306. XVIII. Le gouvernement s’obstinant à laisser lés citoyens sans armes, l′ennemi entre dans les villes sans coup férir
312. XIX. Le gouvernement s′oppose à l′introduction dans le comité de défense de trois députés élus par leurs collègues
318. XX. Sedan
334. XXI. La Capitulation
340. LIVRE TROISIÈME LE 4 SEPTEMBRE
342. I. La Veille de la revolution
364. II. La séance de nuit
374. III. Le matinee du 4 Septembre
388. IV. L′envahissement
414. V. L′Hotel de Villo
432. VI. La fin du Senat et du Corps legislatif
440. TABLE
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SOUVENIRS DU QUATRE SEPTEMBERE ORIGINE ET CHUTE DU SECOND EMPIRE
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100%
90%
80%
75%
50%
25%
Àðêóø 1
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SOUVENIRS DU QUATRE SEPTEMBERE ORIGINE ET CHUTE DU SECOND EMPIRE
Àðêóø 6
SOUVENIRS DU QUATRE SEPTEMBERE ORIGINE ET CHUTE DU SECOND EMPIRE PAR JULES SIMON
Àðêóø 8
LIVRE PREMIER LE 2 DÉCEMBRE 185I
Àðêóø 10
I. Pourquoi je publie ces mémoires, et pourquoi, avant de raconter la chute de l’Empire, je suis obligé d’en raconter les origines
Àðêóø 12
Àðêóø 13
Àðêóø 14
II. Louis-Napoléon Bonaparte jure fidélité à la République et à la Constitution
Àðêóø 16
Àðêóø 17
Àðêóø 18
Àðêóø 19
Àðêóø 20
III. Louis-Napolêon Bonaparte s′apprête il violer la Constitution et à renverser la République
Àðêóø 22
Àðêóø 23
Àðêóø 24
Àðêóø 25
Àðêóø 26
Àðêóø 27
Àðêóø 28
IV. Louis-Napoléon Bonaparte se sert de la loi du 31 inai, à laquelle il a lui-même coopéré, pour accroître sa popularité aux dépende l’Assemblée
Àðêóø 30
V. Les parlementaires, se sentant perdus, essaient de se défendre en proposant la loi des questeurs
Àðêóø 32
Àðêóø 33
Àðêóø 34
VI. Le président de la République transforme l′armée de Paris en garde prétorienne
Àðêóø 36
Àðêóø 37
Àðêóø 38
VII. L′attentat
Àðêóø 40
Àðêóø 41
Àðêóø 42
Àðêóø 43
Àðêóø 44
Àðêóø 45
Àðêóø 46
Àðêóø 47
Àðêóø 48
Àðêóø 49
Àðêóø 50
Àðêóø 51
Àðêóø 52
VIII. La résistance légale
Àðêóø 54
Àðêóø 55
Àðêóø 56
Àðêóø 57
Àðêóø 58
Àðêóø 59
Àðêóø 60
Àðêóø 61
Àðêóø 62
IX. Les citoyens combattent pour la Constitution et la loi contre l’armée et les représentants de l’autorité. — La lutte dans Paris
Àðêóø 64
Àðêóø 65
Àðêóø 66
Àðêóø 67
Àðêóø 68
Àðêóø 69
Àðêóø 70
Àðêóø 71
Àðêóø 72
X. La lutte dans les départements
Àðêóø 74
Àðêóø 75
Àðêóø 76
XI. Le plébiscite
Àðêóø 78
Àðêóø 79
Àðêóø 80
Àðêóø 81
Àðêóø 82
Àðêóø 83
Àðêóø 84
Àðêóø 85
Àðêóø 86
Àðêóø 87
Àðêóø 88
XII. Les proscriptions
Àðêóø 90
Àðêóø 91
Àðêóø 92
Àðêóø 93
Àðêóø 94
Àðêóø 95
Àðêóø 96
XIII. Le nombre des victimes
Àðêóø 98
Àðêóø 99
Àðêóø 100
Àðêóø 101
Àðêóø 102
XIV. La loi de sûreté générale
Àðêóø 104
Àðêóø 105
Àðêóø 106
Àðêóø 107
Àðêóø 108
Àðêóø 109
Àðêóø 110
LIVRE DEUXIEME LA GUERRE DE 1870
Àðêóø 112
I. L′Empire laisse égorger le Danemark
Àðêóø 114
Àðêóø 115
Àðêóø 116
Àðêóø 117
Àðêóø 118
Àðêóø 119
Àðêóø 120
Àðêóø 121
Àðêóø 122
Àðêóø 123
Àðêóø 124
II. L’Empire laisse égorger l’Aulriche
Àðêóø 126
Àðêóø 127
Àðêóø 128
Àðêóø 129
Àðêóø 130
III. L’Empire négocie avec la Prusse victorieuse pour obtenir de saloyauté des agrandissements de territoire
Àðêóø 132
Àðêóø 133
Àðêóø 134
Àðêóø 135
Àðêóø 136
Àðêóø 137
Àðêóø 138
Àðêóø 139
Àðêóø 140
IV. L′Empire, après avoir lui-même créé la puissance de la Prusse, comprenant, mais trop tard, qu’il n’obtiendra d’elle aucune compensation, cherche une occasion de se venger et de reconquérir son prestige par une guerre heureuse
Àðêóø 142
Àðêóø 143
Àðêóø 144
Àðêóø 145
Àðêóø 146
V. La Prusse ayant voulu mettre un prince prussien sur le trône d’Espagne, l’Empire exige et obtient la renonciation du prétendant et l’adhésion formelle du roi de Prusse à celte renonciation
Àðêóø 148
Àðêóø 149
Àðêóø 150
Àðêóø 151
Àðêóø 152
Àðêóø 153
Àðêóø 154
Àðêóø 155
Àðêóø 156
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Àðêóø 162
Àðêóø 163
Àðêóø 164
Àðêóø 165
Àðêóø 166
Àðêóø 167
Àðêóø 168
Àðêóø 169
Àðêóø 170
VI. L’Eiupire, au lieu de se contenter de sa victoire diplomatique et de conserver la paix qu’il a dans la main, pose au roi de Prusse des conditions inacceptables
Àðêóø 172
Àðêóø 173
Àðêóø 174
Àðêóø 175
Àðêóø 176
Àðêóø 177
Àðêóø 178
Àðêóø 179
Àðêóø 180
Àðêóø 181
Àðêóø 182
Àðêóø 183
Àðêóø 184
Àðêóø 185
Àðêóø 186
Àðêóø 187
Àðêóø 188
VII. L’Empire, au moment de la déclaration de guerre, n’a pas d’alliances
Àðêóø 190
Àðêóø 191
Àðêóø 192
Àðêóø 193
Àðêóø 194
Àðêóø 195
Àðêóø 196
Àðêóø 197
Àðêóø 198
Àðêóø 199
Àðêóø 200
Àðêóø 201
Àðêóø 202
Àðêóø 203
Àðêóø 204
Àðêóø 205
Àðêóø 206
Àðêóø 207
Àðêóø 208
Àðêóø 209
Àðêóø 210
Àðêóø 211
Àðêóø 212
VIII. L′Emp′re no pont mellro en ligne qu’un effeetif égal à peine antiers des armées allemandes; ses cadres ne sont pas au complet
Àðêóø 214
Àðêóø 215
Àðêóø 216
Àðêóø 217
Àðêóø 218
Àðêóø 219
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Àðêóø 222
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Àðêóø 224
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Àðêóø 231
Àðêóø 232
Àðêóø 233
Àðêóø 234
Àðêóø 235
Àðêóø 236
IX. L’Emperour, qui a déclaré la guerre sans motifs sérieux et avant d′élrc prêt it la soutenir, désorganise notre armée en ïa divisant et en la dispersant
Àðêóø 238
Àðêóø 239
Àðêóø 240
Àðêóø 241
Àðêóø 242
Àðêóø 243
Àðêóø 244
Àðêóø 245
Àðêóø 246
Àðêóø 247
Àðêóø 248
X. Après le désastre de Froeschwiller, l’Empire n′existe plus que de nom. Le ministère du 2 janvier est renversé
Àðêóø 250
Àðêóø 251
Àðêóø 252
Àðêóø 253
Àðêóø 254
XI. Paris et l’opinion après la séance du 9 août
Àðêóø 256
Àðêóø 257
Àðêóø 258
Àðêóø 259
Àðêóø 260
Àðêóø 261
Àðêóø 262
XII. L’opposition républicaine au Corps législatif
Àðêóø 264
Àðêóø 265
Àðêóø 266
Àðêóø 267
Àðêóø 268
Àðêóø 269
Àðêóø 270
XIII. La gauche, malgré les efforts du gouvernement, fait décider [iar le Corps législatif l’armement immédiat de la garde nationale
Àðêóø 272
Àðêóø 273
Àðêóø 274
Àðêóø 275
Àðêóø 276
XIV. L’Empereur, sous la pression de l′opinion, renonce au commandement de l′armée
Àðêóø 278
Àðêóø 279
Àðêóø 280
Àðêóø 281
Àðêóø 282
Àðêóø 283
Àðêóø 284
Àðêóø 285
Àðêóø 286
XV. Le général Trochu accepte le gouvernement de Paris à trois conditions : 1" la rentrée de la garde mobile à Paris; 2* le retour de l’Empereur; 3° la reconstitution sous Paris de l’armée du maréchal de Mac-Mahon
Àðêóø 288
Àðêóø 289
Àðêóø 290
Àðêóø 291
Àðêóø 292
XVI. Après de longues hésitations, l′armée du maréchal de Mac-Mahon abandonne Paris, cl se dirige lentement vers le Nord-Est
Àðêóø 294
Àðêóø 295
Àðêóø 296
Àðêóø 297
Àðêóø 298
Àðêóø 299
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Àðêóø 301
XVII. Le gouvernement n′exécute pas la loi sur l’armement de la garde natiouale
Àðêóø 303
Àðêóø 304
Àðêóø 305
XVIII. Le gouvernement s’obstinant à laisser lés citoyens sans armes, l′ennemi entre dans les villes sans coup férir
Àðêóø 307
Àðêóø 308
Àðêóø 309
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Àðêóø 311
XIX. Le gouvernement s′oppose à l′introduction dans le comité de défense de trois députés élus par leurs collègues
Àðêóø 313
Àðêóø 314
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XX. Sedan
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Àðêóø 333
XXI. La Capitulation
Àðêóø 335
Àðêóø 336
Àðêóø 337
Àðêóø 338
Àðêóø 339
LIVRE TROISIÈME LE 4 SEPTEMBRE
Àðêóø 341
I. La Veille de la revolution
Àðêóø 343
Àðêóø 344
Àðêóø 345
Àðêóø 346
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Àðêóø 362
Àðêóø 363
II. La séance de nuit
Àðêóø 365
Àðêóø 366
Àðêóø 367
Àðêóø 368
Àðêóø 369
Àðêóø 370
Àðêóø 371
Àðêóø 372
Àðêóø 373
III. Le matinee du 4 Septembre
Àðêóø 375
Àðêóø 376
Àðêóø 377
Àðêóø 378
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Àðêóø 380
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Àðêóø 387
IV. L′envahissement
Àðêóø 389
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Àðêóø 392
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Àðêóø 394
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V. L′Hotel de Villo
Àðêóø 415
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VI. La fin du Senat et du Corps legislatif
Àðêóø 433
Àðêóø 434
Àðêóø 435
Àðêóø 436
Àðêóø 437
Àðêóø 438
Àðêóø 439
TABLE
Àðêóø 441
Àðêóø 442
Àðêóø 443
Àðêóø 444
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